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28 janvier 2014 2 28 /01 /janvier /2014 14:16

 

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Mon avis (négatif) sur le "coach littéraire"

 

J'ai déjà abordé ici et là la question des relectures, des corrections et tout le tintouin sur les manuscrits. Je n'avais jamais pris le temps de préciser ce que je pensais spécifiquement des gens qui se font payer pour vous "aider à écrire mieux". Les messages que j'ai échangés avec une lectrice vous donneront un bon aperçu de mon opinion à ce sujet.

 

Je reçus donc un jour le message suivant :

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Cher Stoni,

Tout d'abord merci pour ton blog, c'est très agréable de te lire et on se sent moins seul en partageant le constat qu'être écrivain ce n'est pas rose tous les jours.
Après avoir été éditée, je pense à devenir coach littéraire. Il s'agirait d'aider ceux qui le souhaitent à améliorer leur manuscrit en respectant leur texte et en leur apportant, contre une rémunération raisonnable, ce regard extérieur qu'ils recherchent pour progresser.
J'aimerais savoir ce que tu en penses.

Une fidèle lectrice.

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Voici ma réponse :

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Chère fidèle lectrice,

J'ai écrit un article qui, je pense, répondra à ta question.

http://stoni1983.over-blog.com/article-les-sites-web-participatifs-de-correction-et-relecture-de-manuscrits-116328890.html

Je suis absolument contre le fait d'exiger une rémunération pour ce genre de travail. Il y a déjà beaucoup de profiteurs qui font payer les aspirants auteurs.
C'est mon avis et vous en faites ce que vous voulez...

Je ne vois pas en quoi un "coach" peut aider n'importe qui à se faire éditer.
Ce genre d'activité n'a aucun sens, sauf si elle est bénévole.
Un peu comme si je faisais payer les articles sur mon blog...

Bien fraternellement
Stoni 1983

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Cher Stoni,

Merci pour la rapidité de ta réponse. J'ai lu avec attention le lien que tu m'as envoyé.

Si je me lançais dans cette activité, je ne ferais jamais miroiter à quelqu'un la promesse d'être édité, ce n'est pas, comme tu le sais, en mon pouvoir. Par contre après avoir écrit plusieurs romans qui ont été publiés et ont trouvé leur public, je crois être en mesure d'aider un auteur à pointer ce qui ne va pas dans son texte, les incohérences, les tics d'écriture sans éprouver l'envie de le dénaturer.
Une amie m'a demandé mon aide afin de finaliser un roman moins pour le voir publier que pour réaliser son rêve. J'ai aimé le faire gracieusement mais cela m'a pris une vingtaine d'heures.

Si je produis un travail de qualité pour un auteur qui lui permette d'améliorer notablement son texte pourquoi ne pourrais-je pas lui demander une rétribution sans passer pour une arnaqueuse ? Pourquoi cette peine-là ne mériterait-elle pas salaire ? Qu'il tente ensuite ou pas l'aventure de l'édition n'est pas de mon ressort, mais s'il le fait il aura certainement augmenté les chances de survie de son manuscrit.

Le but ne serait pas de donner à l'auteur qui m'a confié son roman mon "avis" mais de le pousser à aller au bout de lui-même. Tu dois sans doute être un grand perfectionniste, ce qui te permet de travailler jusqu'à atteindre cet idéal, mais je crois que c'est très dur pour la plupart des gens, moi compris. Certaines personnes ont besoin d'un accompagnement, d'un retour sur leur travail, tu as dû t'en rendre compte au nombre de demandes d'avis que tu reçois.

C'est vrai, il existe des sites bénévoles, je suis d'ailleurs allée y faire un tour et, franchement, je n'aimerais pas passer sous leurs fourches caudines d'autant que je ne les trouve pas très pertinents.

Tu sais, tu aurais pu, comme d'autres écrivains, écrire un livre de conseils du style de celui de Stephen King au lieu de le faire sur ton blog. Tu as la générosité de livrer ton expérience gratuitement, cela t'honore, mais pour autant Stephen King a été un précieux coach pour beaucoup d'auteurs en herbe.

Je pense que cette activité de conseiller peut être un véritable plus pour certains si elle est faite honnêtement et vendue pour ce qu'elle est. Je n'y vois dans ce cas pas d'arnaque.

Bon, ai-je un peu fait évoluer ton opinion sur le sujet ?

Amicalement.

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Chère fidèle lectrice,

Il y a quand même un gros problème dans ton projet.

Tu n'es pas éditrice, tu es auteure (ou alors je n'ai rien compris). Tu n'es pas non plus correctrice d'édition. Quelle légitimité as-tu pour "corriger" le manuscrit des autres moyennant rétribution ? En quoi es-tu capable de pousser les auteurs à aller "au bout d'eux-mêmes" ?

Ecoute, c'est histoires de coaching, je trouve ça si symptomatique de notre époque. Maintenant, il y a des "coach" pour tout (j'écris "coach" entre parenthèses car je ne supporte pas ces mots anglais issus du monde de l'entreprise, qui ne veulent rien dire, qui ne disent rien, et qui n'auront jamais rien à dire). Un "coach" pour t'habiller, pour faire du sport, pour écrire, je ne sais quoi encore. Appliquer au domaine de l'écriture, c'est tout simplement ridicule. Et sinistre. Avant, au sein d'une même branche d'activité, on s'entraidait. Ca s'appellait le syndicalisme, ou le monde associatif. Notre premier réflexe n'était pas de se demander comment tirer quelques euros des poches de nos confrères, ou de nos aspirants confrères. On s'organisait. On partageait.

Récemment sur le blog, un lecteur a posté un commentaire qui m'a fait réfléchir. " On se rend compte que la plupart des gens voient une maison d'édition comme un professeur. Avec une note, des appréciations, et tout. Pour dire si c'est bien, ce qu'il manque. Je crois que Stoni le dit suffisamment dans tout son blog : un éditeur n'est pas un professeur, il ne sait pas ce qui est bien ou pas, il en fait qu'à sa tête : il n'est pas là pour vous donner des conseils mais pour évaluer votre potentiel artistico-commercial."

Il a raison. Ces histoires de sites de correction, de sites d'évaluation, ou pire encore de "coach", reflètent exactement ce besoin puéril qu'ont les auteurs d'être notés. La littérature, ça ne se note pas. Voilà pourquoi, entre autres, je n'aime pas ces concours de nouvelles qui pullulent ici et là.

Tu écris que "je - moi Stoni - dois être d'un grand perfectionnisme, que je n'ai pas besoin qu'on me relise, mais que d'autres ont besoin d'être poussés". D'une, c'est faux, je n'ai jamais écrit que je n'avais pas besoin de relecteurs, au contraire (cf. mon article sur les relectures ). De deux, eh bien, j'ai envie de te dire que si un auteur n'a pas la motivation suffisante pour travailler son propre texte, c'est qu'il ferait peut-être mieux de conserver l'écriture comme un hobby et ne de pas songer à la publication. Que les gens se bougent le cul et bossent un peu, bordel ! C'est incroyable comme il faut vous prendre par la main, parfois !

Je ne connais pas la méthode de Stephen King, ce genre de chose ne m'intéresse pas. J'ai déjà écrit un article sur ces méthodes.

Cela dit, reconnais au moins à ces auteurs le mérite de ne faire payer que 20 € (le prix moyen d'un livre) pour leurs conseils : je doute que tu factureras cette somme pour la lecture complète d'un manuscrit.

Voilà mon opinion, après, si tu veux donc te lancer dans des entreprises de "coaching", que veux-tu que je te dise. Fais donc.

Mais je ne conseillerais à personne de gâcher son argent de la sorte.

Fraternellement
Stoni1983

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 13:14

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Vous êtes des dizaines, chaque semaine, à m’écrire car vous vous retrouvez dans cette pénible situation.

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En gros, votre histoire est la suivante :

 

Vous avez écrit un roman.

 

Vous avez envoyé vos manuscrits.

 

Un éditeur vous a rappelé pour vous proposer un contrat.

 

Vous êtes tombé sur mon article « comment repérer un mauvais éditeur ».

 

Vous avez fait passer à l’éditeur le test « de l’éditeur pourri ».

 

Le résultat est malheureusement positif.

 

Vous êtes dépité et vous ne savez plus quoi faire.

 

Vous m’écrivez que vous êtes dépité et que vous ne savez plus quoi faire.

 

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Comment Stoni peut-il t'aider, désormais ?

 

J’ai envie de vous dire : tout dépend de vos motivations.

 

Sur mon blog, mes conseils visent des auteurs de littérature adulte qui souhaitent être édités dans un cadre classique, et exister un tant soi peu dans le monde de l’édition française.

 

Les auteurs attirés par l’édition associative, ou super underground, par exemple, ne trouveront pas de bons conseils chez moi.

 

Bref, si vos ambitions sont autres, si vous ne voulez pas forcément être « un écrivain classique », si tout ce qui vous intéresse est d’obtenir un objet livre, imprimé, relié, le distribuer ou le vendre autour de vous (famille, amis), dans ce cas, pourquoi pas un éditeur pourri ?

Quoique encore, aux gens comme vous, je conseillerais plutôt l’auto-édition

 

En revanche, dans l’optique où effectivement vous écrivez de la littérature adulte, que vous souhaitez être édité dans un cadre normal, exister un tant soi peu dans l’édition française (ouais je sais je répète, mais c’est pour être sûr que vous ayez bien compris…), un éditeur qui répond aux critères de l’éditeur pourri n’est clairement pas la meilleure chose pour vous.

 

Pour vous fixer définitivement sur la qualité d’un éditeur, je dirais que les points fatidiques sont les suivants (cf. les onze tuyaux pour repérer un éditeur pourri) :

 

Un mauvais distributeur / diffuseur

 

Un tirage inférieur à 1000 exemplaires

 

Et encore une fois un mauvais distributeur / diffuseur

 

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Comme je l’ai déjà expliqué dans cet article, puis dans celui-ci, la distribution et la diffusion sont réellement le nerf de la guerre.

 

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Alors, que faire ?

 

Avec toutes ces infos en poche, la balle est dans votre camp.

 

C’est à vous de voir.

 

Vous êtes un certain nombre à m’écrire en me demandant de prendre une décision à votre place.

 

Je ne peux pas le faire. Ce n’est pas mon rôle, ni d’auteur, ni de blogueur.

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A ce stade, les seuls conseils que je puis vous donner, sont ceux-ci.

 

 

Il y a un tuyau parmi les onze que je donne dans le fameux « test du Pourrito » que vous avez tendance à négliger, alors qu’il s’agit peut-être du plus important : demander l’avis d’un libraire.

Je vous assure, il vous aidera certainement mieux que moi à prendre une décision. Mouillez-vous. Allez dans une librairie, racontez votre histoire, amenez le contrat pourquoi pas ? En général, quand on demande son avis à quelqu’un, la personne est flattée et vous avez de fortes chances pour qu’elle ne vous envoie pas balader. Faites-le. Demandez-lui ce qu’il pense du distributeur, de la structure, demandez-lui son avis sur tout !

 

Ne vous précipitez pas sur le premier contrat qu’on vous propose. Prenez le temps de réfléchir. Accordez-vous quelques semaines.

 

Faites un réel examen de vos motivations par rapport au roman que vous avez soumis, par rapport à vous-même. Que voulez-vous vous offrir ? Pourquoi écrivez-vous ?

 

 

Quoi qu’il en soit, je vous souhaite bon courage et bonne chance.

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 12:59

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J’ai reçu le message d’une fort charmante lectrice de mon blog qui – signe de son inestimable bon goût – me demanda mon avis sur les méthodes d’écriture et les ateliers d’écriture.

 

Aussi ai-je décidé de partager la réponse que je lui ai envoyée, bande de petits veinards.

Nous étudierons d’abord la question des méthodes, puis celle des ateliers.

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Les méthodes d’écriture.

 

Certains écrivains américains ont développé depuis fort longtemps des méthodes d’écriture qu’ils dispensent lors d’ateliers ou de stages.

Or, nous en sommes en France, et pour découvrir ces méthodes, nous devons nous rabattre sur les livres qui ont été édités à ce sujet (la majorité étant en anglais).

 

Mon avis sur ces méthodes : je n’en ai aucun.

 

Eh oui ! Ça vous coupe la chique, pas vrai.

 

Je n’ai jamais utilisé une méthode d’écriture. Pour être honnête, je n’avais qu’une très vague idée de l’existence de ces dites méthodes américaines avant que ma lectrice ne m’en parle.

 

En vérité, mon avis est surtout : lancez-vous sans moi, putain de bordel de merde.

Foncez ! Vous n’avez pas besoin de mon avis pour ça. Si elles vous attirent, testez ces méthodes, je suis sûr qu’il y a du bon à prendre dedans !

 

Mes lecteurs qui auront testé telle méthode pourraient en parler dans l’espace des commentaires de cet article, d’ailleurs ! Faites-nous donc part de votre expérience. Partagez ! (oui c’est beau le communisme, je sais – j’en chialerais presque)

 

Mais si à la base ça ne vous attire pas plus que ça, bof…

Mes conseils pour améliorer son style devraient déjà pas mal vous aider…

 

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Sur les méthodes d’écriture genre « être publié en deux mois ».

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Si nous autres pauvres Français ne bénéficions guère des ateliers d’écriture dispensés par Monsieur Philip Roth à Stanford (nan, je sais que ça existe pas, c’était un exemple), nous avons en revanche la joie inestimable de trouver à la pelle des bouquins du style : « conseils aux auteurs pour se faire éditer ».

 

Bon, c’est comme vous voulez.

Mais vous trouverez de bien meilleurs conseils sur mon blog, et cela gratuitement.

 

Ce que je reproche à ces bouquins, c’est d’être écrits par des gens qui ne savent pas de quoi ils parlent. Ou qui restent bien sagement dans les clous.

La plupart des auteurs des manuels « pour être édité » sont des types qui pondent des livres de commande à la chaîne : genre leur dernier travail c’était d’écrire un livre sur la cuisine au soja. Un beau jour, on leur a demandé de torcher un truc sur la publication.

 

Jamais ces livres ne vous révéleront le véritable fonctionnement de l’édition. Comme je le fais sur ce blog. Sans vouloir me vanter.

 

Je trouve ces ouvrages très chers pour ce qu’ils sont.

 

Mais bon après, c’est comme vous voulez. Ça vous tuera pas non plus d’en acheter un, si vraiment vous voulez essayer.

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Les ateliers d’écriture.

 

Ma réponse sera la même que celle sur les méthodes d’écriture « américaines ».

 

Je n’ai pas d’avis sur les ateliers d’écriture, car je n’ai jamais participé à un truc de ce genre-là.

 

Si vous avez envie d’en essayer un, allez-y, faites-vous plaisir !

 

Mais ne croyez surtout pas que ça vous aidera à vous faire éditer. Je reçois des messages d’auteurs déçus qui me disent : « j’ai dépensé des tas de pognon pour les ateliers de François Bon ou ceux d’Eric Poindron, et je suis toujours pas publié, je comprends pas ».

 

Si ces ateliers vous intéressent, allez-y par curiosité intellectuelle, pour le plaisir d’écrire, mais pas pour être édité. Sinon vous risquez d’être rudement déçus.

 

(Et attention par la suite à ne surtout pas critiquer la méthode d’Eric Poindron sur le oueb, sinon ça va chier pour votre matricule…)

 

Encore une fois, dans le cas où vous ne seriez pas alléchés plus que ça, les ateliers ne sont nullement une obligation.

 

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Conclusion où on en sort tous grandis.

 

Ma lectrice, dans son message, me disait « n’est-ce pas un peu hérétique d’apprendre des méthodes mécanistes d’écriture, n’est-ce pas tuer la spontanéité ? ».

 

Pardonnez-moi la vulgarité du vocabulaire, mais putain de chiotte de topinambour, qu’est-ce que c’est cette obsession que vous entretenez sur ce qui est hérétique ou pas ? Faites donc ce qui vous plaît !

A mon avis, il n’y a pas d’hérésie en écriture. Chacun travaille bien comme il le souhaite !

 

Et même si, par hasard, vous découvriez que telle méthode n’est pas si bonne que ça, qu’elle tue votre spontanéité, justement… Ma foi, vous n’aurez qu’à l’abandonner et revenir à votre bonne vielle façon de faire personnelle ! Qu’est-ce que ça peut foutre ?

 

Détendez-vous. Ecrivez de la façon qui vous fait envie. Aventurez-vous dans des nouveautés, si celles-ci vous attirent. Rester sur votre façon de travailler si elle vous convient. Voilà, quoi.

 

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